EXCLU Loïc (Mariés au premier regard 2024) parti de chez lui à 16 ans : le gros impact que cela a eu dans sa vie

Dans son portrait partagé par M6 par le biais d'un communiqué de presse, il est précisé que Loïc a souhaité quitter le nid familial à l'âge de 16 ans. Un événement sur lequel le candidat de Mariés au premier regard 2024 est revenu auprès de Purepeople.

Vous avez souhaité être indépendant dès l'âge de 16 ans. Pour quelle raison ?

Je suis parti très tôt du domicile familial parce que mes parents se séparaient. Et comme beaucoup de parents qui divorcent, malheureusement ça ne se passe pas toujours très bien. J'ai voulu fuir ce contexte d'anxiété, de stress. Je me suis dit qu'il fallait que je prenne mon envol, donc j'ai trouvé un boulot. J'étais apprenti-serveur et j'ai pris un appartement. C'était compliqué pour ma mère d'accepter ça parce qu'on ne s'attend pas à ce que son fils parte à 16 ans, mais pour moi, ça a été hyper bénéfique.

Avez-vous fait face à des difficultés dans votre quotidien à la suite de cela ?

Ah bah oui, à 16 ans quand on se retrouve seul à gérer des papiers, les impôts, un appartement, les factures, c'est juste improbable. Mais j'ai été suivi, j'ai été aidé. Je n'étais pas tout seul.

Cela a-t-il eu un impact sur votre vie amoureuse ?

Je pense que ça a eu un impact parce que j'ai pris très tôt mon indépendance et j'ai voulu créer une famille plus vite que les autres et du coup, ça n'a pas fonctionné. Ça n'a pas été évident.

Etes-vous en contact avec votre papa ?

Je n'ai plus du tout de contacts avec mon père. J'ai mon beau-père qui a pris une place très bien dans ma vie et que j'aime beaucoup aussi. Donc c'est parfait.

Avez-vous regardé les précédentes saisons ?

Pas du tout. J'ai regardé un épisode de la saison précédente quand j'ai passé le casting, mais j'ai vite arrêté. Je suis tombé sur un mariage et j'ai eu un gros coup de stress. Je me suis demandé ce que je faisais. Mais je savais que c'était le moment.

Avez-vous pensé à abandonner l'aventure ?

Je pense qu'on a toujours des phases où on a un peu des doutes, des questionnements. Mais jamais je n'ai douté au point d'arrêter.

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